Ma Chérie!
J'ai flacher sur elle!
Elle était dans un refuge mais une maleur est arrivé le 1er novembre 2005!
Elle décède!
Je suis en pleure je pleure tellement que je ne pense plus a rien!!
Voila son histoire :
Cheyenne recueilli par le refuge mi-septembre 2005 dans un état de maigreur très prononcé.
Les premiers jours de ton arrivée, nous avons bien constaté que tu n’arrivais pas à déglutir la nourriture sèche…alors nous t’avons préparé
des barbotages…Tu mettais du temps mais tu mangeais ta ration. Les carottes et les pommes ne se faisaient pas prié.
Début octobre, tu avais des rejets de nourriture des naseaux.. Par sécurité, le vétérinaire est venu voir…et l’on devait te surveiller quelques
jours.
Ces rejets devenaient réguliers, alors nous avons choisi de te faire passer une gastroscopie afin de voir ce qui se passait dans l’œsophage.
Le lundi, je t’ai emmené à la clinique pour que tu sois à jeun pour le lendemain.
Mardi, la vétérinaire m’appelle et m’annonce le triste résultat. Ni elle ni moi ne nous attendions à une telle chose. Moi qui pensais que tu avais
juste un petit quelque chose à l’œsophage…et non, une tumeur devait de comprimé l’estomac de la sorte que la vétérinaire n’arrivait même pas
à trouver ton estomac….plus de suc gastrique..rien juste une fente…
Quel choc…et là toutes les questions arrivent mais surtout une : Souffre t-elle ?
Je raccroche le temps d’encaisser le coup…que faire , l’eutheunasier ou la laisser vivre ainsi en ne sachant pas si elle souffre. Comment voir les
souffrance d’un cheval quand les lésions sont telles.
Les expériences servent à en tirer des leçons…et un cheval avec des tumeurs, dans un état général tel celui de Cheyenne, qui ne trotte et ne
galope…a-t-on le droit de le laisser dans le doute de la souffrance…j’espère simplement que l’on a fait le bon choix…car ces situations sont très
délicates. Mais la passion doit rimer avec respect…alors parce que je vous aime très profondément j’ai pris la triste décision de t’endormir…
Salut Cheyenne…et veille sur Ydé depuis la-haut….
